Et si Omet nous était conté...

Monument aux morts

A quoi il sert ?

Il sert à se réunir, pour se souvenir et réfléchir.
Nous célébrons la fin des 2 guerres mondiales, les 11 novembre et les 8 mai en espérant que cela ne recommencera plus.
Nous rendons hommage aux morts pour ne pas oublier leurs sacrifices.
Nous y sommes de moins en moins nombreux.

BEAUSSET René	1914-1918
CLARENS Antoine	1914-1918
CRACHEREAU Raymond	1914-1918
CREMIER Marcel	1914-1918
FAURIE Albert	1914-1918
GILLET Louis	1914-1918
LABAYLE Pierre	1914-1918

BERTRAND Yves	1939-1945

: LAHITEAU Pierre; 19 octobre 2016

Rapport et délibérations du Conseil général en 1841

au sujet du pont de Cadillac, notre commune a été une des rares à voter les fonds qui lui était demandés.

: LAHITEAU Pierre; 19 octobre 2016

Contes et légendes

Il y a entre Arbis et Omet une petite vallée. Il y a très longtemps, au Moyen-Âge, les anciens disaient que cette vallée boisée, humide et luxuriante en toutes saisons, avait la particularité de produire des parfums musqués qui tantôt rappellaient la sueur masculine, tantôt la suette féminine et que ces vapeurs mêlées faisaient tourner bien des têtes. Cette croyance était solidement ancrée dans la région et on raconte même que ces bois recevaient jadis les visites fréquentes d’illustres habituées, les princesses de Benauge. A la fin du XIVe siècle, l’héritière de Gaston Phébus, l’épouse d’Archambault de Gailly, Isabelle de Foix, comtesse de Benauge s’y faisait conduire régulièrement, et en particulier à une source à laquelle elle prêtait des vertus aphrodisiaques. Selon la légende, la comtesse venait s’y abreuver, portée par quatre valets, fortement sanctionnés s’ils venaient à trébucher.